Restart - Nouveau départ
Et c'est reparti pour un tour. Le tour de quoi? Le tour de moi. Ou plutot Moi. Et mon nombril, bien sûr. Une fois de plus, vous allez me découvrir sous toutes mes coutures, mêmes celles cachées dans l'ourlet de mes sombres pensées (enfin pas trop quand même, je voudrais pas me fâcher avec tout le monde).
Ici, point de langage texto, pour les commentaires je ne vous force à rien, il s'agit juste d'un grand fouilli de réflexions, de résumés de journées mornes et insipides, de coups de coeur et gueule du moment... Bref, autant apeller ceci un torchon virtuel plutot qu'un blog. Mais faut me comprendre, ce besoin de raconter ma vie aussi ridicule qu'inutile à de parfaits inconnus (quoique), c'est limite compulsif chez moi. J'suis pas narcissique pour autant, bien que cet aspect bloguesque se rapproche de l'exhibitionnisme. Nul morceau de fesse en ces lieux toutefois, amis pervers, passez votre chemin.
Je ne suis pas à ma première tentative de vomitarium écrit comme vous pouvez le constater, mais il se trouve que mon ancien hébergeur (enculé de 20six) a décidé d'effacer tous mes articles depuis novembre 2006. Ayant la rancune tenace, j'ai donc décidé de déménager (na) afin de vous exaspérer à nouveau, et en mieux. Je vais publier ici le premier article de mon précédent blog en guise d'introduction mais aussi d'explication (rapport au titre), ainsi que les deux derniers qui avaient été supprimés, simplement parce que j'y tenais et que si vous êtes pas contents je vous emmerde, non mais.
Nouveau blog, nouvel appareil photo, nouveau boulot, nouvelle têtes, nouvelle année qui commence bientôt, 19 ans depuis peu, mais même immaturité... Que voulez-vous. On verra bien ce que ça va donner!
Bonne continuation, ici ou ailleurs...
PS: Je m'appelle Sarah au fait. Et aucun jeu de mots ne sera toléré (parce que la facilité c'est pour les faibles hun). Pas l'envie de faire une longue et chiante description, parce que ça reste complètement superficiel et subjectif, mais surtout temporaire, on ne cesse d'évoluer (si si, j'vous jure). Vous apprendrez à me découvrir avec le temps. Ou pas.
Ca, ce sont mes orteils:
Et ça:
c'est le début du bonheur.